Page d'accueiltête de chapitre Mopeg: hiérarchie des classes: définition de l'espace (V.1)

Cellule (1300+):

xrefhaut(real)
yrefhaut(real)
xrefbas(real)
yrefbas(real)

valeur(real)

1. Espace (533)

z(real)
frontière (boolean)
voisins(liste variable(Espace))
agents(liste variable(Communaute))

sous-classes d'Espace:
1.1 Mer
1.2 Terre
1.2.1 Marché
1.2.1.1 Port
1.2.1.1.1 Ile

2. Communaute

position(Espace)
déplace(espace/ )

2.1 Poisson
2.2 Homme

 

LEGENDE:

nom de classe
champ(type)
méthode(paramètres en entrée / résultat en sortie)

classe racine

sous-classe 1

sous-sous-classe 1.1

sous-sous-classe 1.2

sous-classe 2

Excepté la classe racine (décrite ci-après), l'arbre de classe est exclusivement réservé au domaine concret modélisé (le secteur des pêches en Guinée) donc indépendant de sa représentation graphique.

classe Cellules

Chaque élément du modèle doit pouvoir faire l'objet d'une représentation graphique, l'entité de base retenue est la Cellule; une "cellule" pouvant être positionnée sur l'écran dans une grille (canvas Java). Un tableau de "cellules" est défini par ailleurs et sert de support à la représentation graphique.
Les cellules constituent donc le support graphique du modèle. Il ne doit pas y avoir à ce niveau de relation avec le domaine concret modélisé; ni physique, ni biologique, etc. La seule liaison au milieu concret se fait par la conversion référentiel kilométrique: les champs xref et yref haut et bas sont là pour permettre la correspondance avec le référentiel (xint, yint) du tableau de "cellules".
NB: on peut d'ailleurs discuter s'il ne serait pas mieux de définir la correspondance entre les référentiels par une procédure complètement séparée de la définition de l'arbre des classes (ici, quatre champs pour le référentiel kilométrique); avantage: plus pur, inconvénient: augmentation de la consommation CPU).

Le champ valeur de Cellule fait référence à la valeur (monétaire) qui doit pouvoir être calculée pour tout élément du système (ex: valeur(scan('Port)) -> la somme des valeurs de tous les ports.

grille de résolution

La grille de résolution définit la granularité du domaine spatial modélisé. Un tableau de "cellules" spécifique constitue la grille de résolution: Il s'agira d'abord de créer un tableau de 26*50 objets de l'arborescence cellule - espace (image). NB: Cette taille correspond à peu près à la précision maximum que pourra atteindre le modèle lors des simulations. Elle est en outre suffisamment grossière pour multiplier aisément les simulations lors de la phase de développement. Cependant, il faut concevoir le modèle de telle façon à permettre le changement de la grille pour une résolution plus fine (exemple) ou pour représenter un autre domaine.
Ce tableau de cellules constituera l'interface graphique du modèle. Parmi les cellules certaines appartiendront à la sous-classe Espace :

sous-classe Espace

Les espaces (image) formalisent le milieu physique et son fonctionnement. Les cellules de type espace sont les objets actifs de la grille; ils sont caractérisés par:

Les espaces sont ensuite particularisés (image) en plusieurs sous-classes:


Une fois l'Espace représenté on pourra y introduire des "communautés" aptes à se déplacer dans les "espaces" (à suivre)